Et oui depuis quelques temps, je me sens un peu patraque. Des douleurs reviennent un peu comme il y a trois ans. Fatigue, douleur, moral avec des hauts et des bas, inquiétude, bref tout ce qu'il faut pas. Peut-être que ce n'est rien, peut-être pas. Je connaîtrais le verdict lundi prochain. Je serais rassuré si y a rien. En ce qui concerne les douleurs, je suis courageuse, je les supporte même si c'est point évident parfois. Je fais avec.
Il n'y a rien de pire que cette mauvaise sensation de récidive de la maladie quand les douleurs surviennent. En attendant de ce faire contrôler par le gynéco, on essaie de garder le moral en faisant des choses qu'on aime, des choses qui nous font oublier qu'on est malade. On n'en parle pas à sa famille parce qu'ils ne peuvent pas comprendre ce qu'on ressent, alors on se tais, on fait comme si de rien n'était. La vie continue. On fait sa vie en continuant à tenter de réaliser ses rêves, de faire quelque chose de sa vie, quelque chose qu'on aime faire comme travail, on essaie; mais malgré celà la maladie nous rattrape quand on doit choisir ou faire un métier parce que les symptomes de la maladie surgissent à ce moment-là, on ne peut choisir un métier qui nous fait sentir que l'on ne pourra pas aller jusqu'au bout à cause de la fatigue qui nous envahie. Moi, personnellement, j'ai choisi de faire un métier que j'aime, auquel je me sens capable de faire (tant physiquement que intellectuellement), en espérant bien sûr que ça fonctionne mais faut garder espoir.
Je tiens à réaliser mes rêves qui sont assez simples finalement dans l'ensemble.
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