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Vivre avec l'espoir d'une nouvelle renaissance. Un combat de tous les jours pour les femmes atteintent d'endométriose.
Ce blog a pour but de venir en aide et de soutenir les femmes atteintent d'endométriose comme moi.
De parler sans tabou sur un sujet qui touche de plus en plus de femmes qui sont souvent démunies
de soutien moral et qui viennent chercher du réconfort auprès d'autres personnes dans le même cas.
Dans l'espoir qu'un jour, un bonheur naissant vienne combler nos coeurs.

Memo

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dimanche 21 août 2011

L’endométriose, une maladie fréquente et incurable


La douleur et l’infertilité sont des symptômes communs de cette maladie chronique, qui ont entre 15% et 20% des femmes en âge de procréer
L’endométriose se caractérise par la détection du tissu endométrial, la muqueuse de l’utérus, en dehors de son emplacement habituel. La cause du développement, la relation entre la maladie et l’étendue sévérité des symptômes et de leurs effets sur la fertilité sont encore inconnus dans son intégralité. Et pourtant, aucun remède. Les traitements disponibles visent principalement à soulager la douleur, essayer de ralentir les dégâts et à préserver ou rétablir la fonction de reproduction. Bien qu’il soit estimé à affecter environ 14 millions de femmes et de filles dans l’Union européenne, et 176 millions dans le monde, peu d’études sur le sujet et peu de preuves scientifiques pour les soutenir.
Bien que l’endométriose est plus fréquente chez les femmes âgées de 25 à 44 ans, a également été détectée chez les adolescents. Les données indiquent qu’entre 25% et 50% des patients souffrent de problèmes d’infertilité, et entre 15% et 87% des consultations pour douleurs pelviennes chroniques sont causées par le déclenchement, même si les références sont très variables selon auteurs et les populations étudiées. Rapports des États-Unis montrer du doigt comme la deuxième cause d’ hystérectomie dans ce pays.
Ce jeu de chiffres est pour deux raisons: la difficulté est d’établir un diagnostic précis et la différenciation de la population étudiée. Il est connu que l’âge de la prévalence la plus élevée se situe entre la troisième et la quatrième décennie. Certains auteurs disent qu’il est plus fréquente chez les femmes asiatiques. Le diagnostic se fait par laparoscopie (et biopsie) coïncide souvent avec un examen afin de déterminer pourquoi une femme tombe enceinte.
Cependant, cette maladie chronique , qui est sans danger pour la frapper, mais la qualité de vie beaucoup changé, il manque toujours un remède. Elle peut être asymptomatique ou développer une gamme d’indications. La plus commune est la douleur pelvienne, règles douloureuses ou difficiles suivies (dysménorrhée), rapports sexuels douloureux ( dyspareunie ), douleurs pelviennes non associés au cycle menstruel, miction difficile, douloureuse et incomplète (dysurie), et la constipation.
Ils ont suggéré certains facteurs de risque qui peuvent favoriser son développement. Il s’agit notamment de la ménarche précoce avant 11 ans, et des cycles de moins de 27 jours ou supérieure à 32. Au contraire, il semble qu’un grand nombre de livraisons et d’une longue période d’allaitement sont des facteurs qui réduisent le risque chez les femmes multipares, comme cela arrive avec l’exercice régulier.

mardi 2 août 2011

Ça c'est sûr!

20minutes
10 bonnes raisons de ne pas partir en vacances
CONGÉS - Ou comment prendre les choses du bon côté...

Tout le monde a déserté, et vous vous retrouvez seul au bureau ou vous n’avez tout simplement pas les moyens de quitter votre lieu de vie? Ne déprimez plus, 20Minutes vous donne 10 bonnes raisons de déserter les plages bondées et d’éviter les embouteillages.
1. Vous évitez les fâcheux. Notez tout d’abord que ce n’est pas parce que les autres partent en vacances qu’ils s’amusent. On a tous connu au moins une fois les séjours forcés chez les beaux-parents, les vacances entre couples où les tourtereaux avec lesquels vous partagez la maison passent leur temps à s’engueuler, la bonne copine avec qui l’on part et qui se révèle être une psychopathe…
2. Vous faites des économies. L’avantage de ne pas partir au même moment que les autres est surtout de pouvoir prendre ses vacances hors saisons. Résultat: moins de monde sur votre futur lieu de villégiature, des billets de trains et d’avions moins chers etc.
3. Vous gagnez l’estime de votre entourage. Vous pouvez vous faire plaindre, voire forcer l’admiration de tous. Tant d’abnégation, c’est beau.
4. Votre cadre de vie n’en est que meilleur. Moins de gens dans les transports et dans les rues. Et même si vous vivez dans un lieu touristique, mieux vaut le partager avec des vacanciers qu’avec des autochtones souvent plus stressés (et stressants).
5. Vous vous reposez. Si si. Si votre bureau est vide, délectez-vous de l’absence de votre patron hyperactif ou de la cruche de service qui vous raconte sa vie dès que vous vous octroyez une pause-café.
6. Vous découvrez de nouveaux horizons. Si vous êtes en vacances et que vous ne partez pas du tout, c’est l’occasion de prendre le temps de découvrir votre lieu de vie ou en tout cas de le voir avec un autre œil. Il y a toujours un musée à découvrir, un restaurant que vous n’avez jamais eu le temps de tester, etc.
7. Vous ne souffrez (pas trop) du mauvais temps. S’il pleut, comme le mois dernier, mieux vaut être chez soi. Il est plus facile, et souvent moins onéreux, de s’occuper quand on est dans ses petites affaires qu’à l’hôtel.
8. C’est le moment d’enrichir sa collection de cartes postales. Vous allez également recevoir des cartes postales, et ça c’est chouette.
9. Vous pourrez narguer les autres plus tard. Faire saliver les autres quand eux seront rentrés depuis un moment et que vous vous reviendrez tout bronzé et/ou en pleine forme, ça se savoure.
10. Ce n’est que partie remise. Et puis surtout, surtout: la prochaine fois que vous partirez, vous en profiterez d’autant plus.